Selon une enquête récente , 61, 7 % des filles et des femmes ont avorté en Côte d’Ivoire dont 18 % de mortalité . C’est un chiffre astronomique comparé aux pays occidentaux . C’est une situation inquiétante quand on sait que les avortements clandestins, réalisés dans de mauvaises conditions conduisent souvent à une infertilité .
Namizata Sangaré, la présidente du Conseil national des droits de l’homme (CNDH) à Abidjan envisage la possibilité de créer un atelier d’information et de sensibilisation des acteurs de la société civile sur la problématique de l’accès aux soins complets d’avortement en Côte d’Ivoire qui permettrait de sauver des vie et de limiter les risques d’infertilité pour des femmes souvent très jeunes.
Pour en savoir plus https://news.abidjan.net/h/662490.html