C’est ce qu’il ressort d’un mémoire réalisé à l’université de Montréal , étude qui consiste à savoir s’il existe un lien direct entre la fécondation in vitro et le faible poids du nouveau-né, en dehors de l’effet lié à une grossesse multiple. En effet, un bébé de faible poids occasionne des coûts indirects potentiellement importants, non pris en compte ans le calcul des coûts de la fécondation in vitro (FIV). Dans un deuxième temps, elle cherche à mesurer les économies liées au mandat du transfert unique d’embryons pour le gouvernement.
Cette étude est consultable ici https://archipel.uqam.ca/11933/1/M15747.pdf